• Elles sont là, ces trois croix. Jésus ! Elles me parlent de toi alors deux bandits sont crucifiés avec lui
    Un à droite, un autre à gauche.
    En regardant les trois croix, ce matin-là,
    En les contemplant et relisant le texte biblique
    J'avais cette image !
    La croix de Jésus au milieu
    A droite celle du brigand qui reçut Jésus dans son coeur,
    Il me semblait voir toute la cohorte des enfants de Dieu
    Qui ont dit oui, à Jésus le crucifié.
    L'autre croix, celle de gauche, j'y voyais ceux,
    Et ils sont nombreux,
    Qui n'ont pas encore dit oui à Jésus le crucifié.
    Une souffrance.
     Soyons remplis d'Amour pour proclamer

     Que Jésus est vivant.

     Où es-tu aujourd'hui ?

     A droite de la croix de Jésus

     Ou bien à gauche ?

     

    J’avais dix ans, je participais au camp Chrétiens de Vacances un dimanche matin, durant le moment d’éveil à la foi, mon cœur d’enfant a compris l’essentiel : Dieu m’aime, Il n’est qu’amour.

    C’est devant une croix, toute simple, que je me suis agenouillée pour signifier que j’ouvrais mon cœur à cet amour. J’étais aimée de Dieu qui aime tant qu’Il a donné Jésus à la terre.

    Cet instant demeure un cadeau sans prix : le fondement de ma vie spirituelle et de mon identité. L’amour de Dieu en Jésus-Christ, y a-t-il plus belle révélation ? Existe-t-il plus grand sujet de joie pour le présent et pour l’éternité ?

    Chacun de vous avez un trésor logé au plus profond du coeur, au plus profond de l'âme.

    Ce trésor ne demande qu'à être révélé, activé, partagé.

    Dieu de bonté, qui suis-je que tu aies voulu te révéler ainsi ? C’est là ta grande bonté par laquelle tu m’as aimée en Jésus Christ, mon Sauveur.

    La vie est simple et paisible lorsque nous venons à Dieu comme de petits enfants pour lui dire : Seigneur, je ne veux pas vivre par moi-même.
    Je veux te faire confiance.

    Que ces quelques jours que tu me donnes encore à passer sur cette terre soient employés à ta gloire. 

    Que Dieu vous bénisse. 


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    Un jour, les doigts se querellaient. Il s’agissait de savoir lequel d’entre eux est le plus utile. 
    Le pouce dit aux autres : Inclinez-vous devant moi ; je suis le plus fort ; à moi seul, je travaille autant que vous quatre. 
    L’index reprit : C’est moi qui montre et qui menace ; c’est moi qui fait les choses les plus fines et les plus difficiles ; je suis le plus adroit. 
    Soyez modestes ! s’écria le majeur. Je suis le plus grand de vous tous et en ma qualité de Seigneur, je siège au milieu de la main. 
     L’annulaire demanda fièrement : Que valez-vous au prix de moi, qui suit couvert de bagues d’or et de diamant ? 
     L’auriculaire seul ne soufflait mot. Alors les autres doigts lui crièrent en se moquant :
    Parle donc ! A quoi sers-tu toi ? 
    Vous avez tort de vous moquer de moi, répondit doucement le pauvret : le mérite ne ..se mesure pas à la taille ; celui qui fait ce qu’il peut, remplit son devoir ; vous devez le respecter. 
    Tu as raison, cher petit frère, reprirent les autres doigts, et, en vérité, nous nous valons les uns les autres.   
    Je souhaite de tout coeur que tu passes une bonne semaine. Que la douceur fasse partie de ta journée et que les personnes qui te sont proches t'entourent d'amour.
    Prends soin de toi. 
    Amicalement  

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